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Nous naviguons sur le 49er depuis 2014 en vue des jeux de Toyko. Durant 7 ans, nous avons participé à de nombreux autres projets, des compétitions en D35, le Bol d’Or, en passant par le catamaran à foils. Ces compétitions nous ont permis de devenir un duo plus lié, plus fort et plus compétent afin de faire de notre mieux aux JO de Tokyo et comme tout sportif, espérer peut-être décrocher une médaille olympique aux JO de Tokyo.
Nous sommes fiers du travail accompli jusqu’à aujourd’hui et d’avoir été sélectionnés dans le Team Genève depuis 2017, basé sur des critères Swiss Olympic.
Ces derniers mois, nous sommes partis à Santander, dans la région de Cantabrie. Il s’agit d’un plan d’eau qui offre les mêmes conditions en termes de houles avec des effets de marée semblables à celles de l’île d’Eno-Shima à une heure de Toyko. Soit les vents sont forts, soit ils sont faibles. La grande force de notre équipe est de savoir régater dans tout type de conditions.
Pendant l’entraînement, on a aussi simplifié au maximum les manœuvres et les réglages du bateau. Cela nous a permis de nous mettre en confiance.
En tant normal, participer à une régate est assez simple. Mais avec les JO en temps de pandémie, les règles du CIO, du pays, on s’attend à devoir beaucoup s’adapter. On se prépare mentalement à ne pas pouvoir suivre à la lettre notre programme pour ne pas être frustrés. On se prépare également physiquement car ces JO risquent d’être éprouvants avec une température oscillant entre 38 et 40 degrés et un taux d’humidité dans l’air pouvant atteindre 88%. Je suis excité d’y prendre part et d’en découdre. L’objectif de la médaille est une bonne pression. Avec Sébastien, on essaie de ne pas se prendre la tête et de toujours avoir pour objectif de se faire plaisir.
Nous arrivons deux semaines avant la première compétition, soit le 12 juillet. Sur place, nous devons organiser le bateau, nos entraînements, l’administratif, les tests covid. Il y a beaucoup de nouvelles règles et d’inconnues à ce jour. Nous prendrons les choses comme elles viennent. Notre objectif est d’avoir une routine au minimum 4 jours avant le début de la première régate le 28 juillet.
Nous faisons des entraînements de plus d’une heure dans les mêmes conditions qu’au Japon et nous remarquons que les performances s’améliorent de jour en jour.
Tu t’es récemment engagé en tant que parrain d’Action Margaux, Association qui brise le tabou du cancer dans le monde du travail. Peux-tu nous dire pourquoi ?
Je suis honoré de ce rôle de parrain pour Action Margaux. Je crois fort en leur but et j’espère que mon engagement pourra aider l’association.
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