L’étape genevoise du Coop Beachtour n’a décidément plus de secrets pour Margot Blazy qui œuvre dans les coulisses du tournoi depuis…16 ans ! Cette bénévole confirmée est passée de ramasseuse à marqueuse avant de devenir, il y a quatre ans, court manager. Sa principale mission consiste à recruter et gérer les bénévoles. Entre stratégie et anecdotes…Margot nous raconte ces quatre jours au travers de quelques lignes.
Le Coop Beachtour a fait appel au Chênois Genève Volleyball pour la gestion des bénévoles pendant le tournoi…En tant que responsable, quelle a été votre stratégie pour recruter du monde ?
Il est vrai que de trouver du monde pour le tournoi n’est pas chose aisée. En effet, le jeudi et vendredi sont des jours où les gens sont au travail et les enfants à l’école. Cette année, le comité qui s’est fortement engagé m’a grandement simplifié la tâche. Je les remercie.
Autrement ma stratégie s’est plutôt orientée vers le briefing des entraîneurs ; je leur ai demandé relayer l’information et de sensibiliser les enfants à l’importance de s’engager bénévolement. Ils ont fait un super travail ! Je me suis aussi rendue moi-même régulièrement aux entraînements. Cela a payé.
Quels arguments mettez-vous en avant pour motiver les bénévoles ?
Le beach-volley est un attrait à lui tout seul ! Le sable, le soleil et la musique sont autant de facteurs qui attirent les gens presque naturellement.
Une fois sur place en quoi consiste votre tâche ?
Je peux tout aussi bien aller recruter du public sur les quais que d’aller repêcher des ballons égarés dans le lac ! J’organise principalement le planning des bénévoles mais attache aussi beaucoup d’importance au fait que Genève soit mise en avant et que tout le monde garde un bon souvenir du tournoi.
Cela fait 4 ans que vous êtes active comme court manager…avez-vous un souvenir particulier à nous partager ?
J’ai toujours eu un immense plaisir à œuvrer pour l’événement même si parfois, il est vrai, on peut se retrouver dans des situations quelque peu stressantes…Un de nos plus grands soucis reste la disparition des ballons. Une année nous nous sommes retrouvés avec plus que quatre ballons pour…2 jours de tournoi ! Il a fallut en recommander illico presto à la centrale de Berne. Elle a heureusement pu être très réactive et tout est rentré dans l’ordre…mais j’en transpire encore !
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